D'abord, " passer à table " a répondu à un besoin physiologique de manger. Puis au fil du temps, le repas est devenu un rituel : débonnaire, élégant, officiel, voire même sacré. Et de la nourriture la plus humble, à la gastronomie la plus délicate, les mets et les tables furent sources d'inspiration pour les peintres. Marchés et étals, cuisines et offices : on choisit, on concocte des mets, révélés sur la toile par un réalisme pointilleux, ou une somptueuse exubérance. Ici, les tables offrent viandes, poissons, gibiers, fruits en composition savantes rehaussés de vaisselles précieuses. Ailleurs, d'humbles poteries vernies captent la lumière et côtoient le modeste quignon de pain ou le gobelet, où rougeoie le vin de pays. Peinture et Gastronomie se rejoignent pour une fête gourmande.
Ce blog est fermé à la demande expresse, sous forme de Lettre Recommandée envoyée par Mr Blondeau , me menaçant de porter plainte contre moi dans le cas contraire.
vous allez admirer et peut-être même saliver
dans le cadre de la semaine bleue, TLS vous propose cette conférence, au titre " gourmand " quand les peintres passent à table....présentée par Monique Parmentier le mardi 13 octobre, salle Dael.
D'abord, " passer à table " a répondu à un besoin physiologique de manger. Puis au fil du temps, le repas est devenu un rituel : débonnaire, élégant, officiel, voire même sacré. Et de la nourriture la plus humble, à la gastronomie la plus délicate, les mets et les tables furent sources d'inspiration pour les peintres. Marchés et étals, cuisines et offices : on choisit, on concocte des mets, révélés sur la toile par un réalisme pointilleux, ou une somptueuse exubérance. Ici, les tables offrent viandes, poissons, gibiers, fruits en composition savantes rehaussés de vaisselles précieuses. Ailleurs, d'humbles poteries vernies captent la lumière et côtoient le modeste quignon de pain ou le gobelet, où rougeoie le vin de pays. Peinture et Gastronomie se rejoignent pour une fête gourmande.
D'abord, " passer à table " a répondu à un besoin physiologique de manger. Puis au fil du temps, le repas est devenu un rituel : débonnaire, élégant, officiel, voire même sacré. Et de la nourriture la plus humble, à la gastronomie la plus délicate, les mets et les tables furent sources d'inspiration pour les peintres. Marchés et étals, cuisines et offices : on choisit, on concocte des mets, révélés sur la toile par un réalisme pointilleux, ou une somptueuse exubérance. Ici, les tables offrent viandes, poissons, gibiers, fruits en composition savantes rehaussés de vaisselles précieuses. Ailleurs, d'humbles poteries vernies captent la lumière et côtoient le modeste quignon de pain ou le gobelet, où rougeoie le vin de pays. Peinture et Gastronomie se rejoignent pour une fête gourmande.
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