en pensant à ce très agréable repas spectacle organisé par TLS pour ses 15 ans, qui ne chante pas " Da Da Da ...Da Da Da ....ou encore qui ne se souvient pas de ce bateau dont la sirène hurle en rentrant au port ....ou aussi qui ne recherche pas les noms des 7 nains de Blanche-Neige ......etc
Nous avons tous passé un très agréable moment aux salons Bôsire : le repas servi était à la hauteur de leur réputation ! Quant au spectacle de Simon Fache, on ne peut que reprendre une expression d'un précédent message : " ce mec est too much ! ! "
Ces quelques photos prises par Yves et JLouis vous rappelleront d'excellents souvenirs, on n'en doute pas.
https://picasaweb.google.com/tlsassotourcoing/BanquetFache?authkey=Gv1sRgCMu6yZf__sf7dQ
https://picasaweb.google.com/tlsassotourcoing/Repas2015?authkey=Gv1sRgCM-PmtucuJe48wE
Ce blog est fermé à la demande expresse, sous forme de Lettre Recommandée envoyée par Mr Blondeau , me menaçant de porter plainte contre moi dans le cas contraire.
la famille "Tiberghien " dans la tourmente de 1914-1918
Dans le cadre de la commémoration du
centenaire de la première guerre mondiale.
" 14-18
Tourcoing Zone Occupée : sur les traces des Tiberghien "
Conférence-échange animée par Henri Lemaître et Nicodème Rosati, membres de la
Société Historique de Tourcoing et le pays de Ferrain.
Mardi 31 mars , 14h 30 salle Dael Tourcoing
1er volet : La mobilisation, l'occupation, les batailles de : Dinant, la Somme, la Marne
1er volet : La mobilisation, l'occupation, les batailles de : Dinant, la Somme, la Marne
Témoignages des souffrances de Tourcoing dans la
tourmente et la réalité du front à travers les acteurs d'une grande famille du
textile les " Tiberghien "
jette un regard particulier sur les souffrances des habitants de Tourcoing alors sous le joug
tyrannique de l’occupant et en
même temps sur le front où de nombreux enfants de Tourcoing
même temps sur le front où de nombreux enfants de Tourcoing
Présentation exceptionnelle de deux diaporamas en simultané
aidant à une meilleure compréhension des nombreux témoignages authentiques et
émouvants présentés.
PARIS, PICASSO et l'HÔTEL SALÉ
Le Samedi 14 mars, 50 adhérents de Retraite et Culture ont pris la route pour Paris, afin d'y découvrir l'Hôtel Salé et le Musée Picasso.
Pourquoi l'Hôtel "Salé" ? Construit entre 1656 et 1660, il doit son nom à son premier propriétaire, Pierre Aubert de Fontenay, un financier devenu fermier général des gabelles, donc chargé de percevoir l'impôt sur le sel.
Son histoire :
- du XVIIIe au milieu du XXe siècle, il a connu plusieurs occupants et a été, jusqu'à son affectation au musée, loué à différents particuliers et institutions.
- acheté en 1964 par la Ville de Paris, il est ensuite classé Monument Historique en 1968.
- entre 1979 et 1985, rénovation, restructuration, réaménagement pour l'installation des collections du futur musée.
- 25 ans plus tard, fermeture pour rénovation, modernisation, restauration et extension par Jean-François Bodin et Stéphane Thouin.
- réouverture le 25 octobre 2014.
La collection Picasso : Elle est composée :
- d'oeuvres de Picasso (peintures, sculptures, papiers collés, dessins, gravures et manuscrits)
- de la collection personnelle de Picasso qui a rassemblé au cours de sa vie des oeuvres de ses amis (Braque, Matisse, Miro, Derain...) de maîtres qu'il admirait (Cézanne, le Douanier Rousseau, Degas, Le Nain...)
La collection présente actuellement 2861 oeuvres.
L'après-midi, libre, a été consacré, selon les goûts des participants, à la visite du Musée Carnavalet, ou du Musée Cognac Jay, ou d'une exposition à l'Hôtel de Ville, ou à la découverte des galeries d'art et de peintures de la place des Vosges.
Le rendez-vous pour le retour étant fixé à 17 heures, c'est sans encombre et sans véritables bouchons que nous avons rejoint Tourcoing
Pourquoi l'Hôtel "Salé" ? Construit entre 1656 et 1660, il doit son nom à son premier propriétaire, Pierre Aubert de Fontenay, un financier devenu fermier général des gabelles, donc chargé de percevoir l'impôt sur le sel.
Son histoire :
- du XVIIIe au milieu du XXe siècle, il a connu plusieurs occupants et a été, jusqu'à son affectation au musée, loué à différents particuliers et institutions.
- acheté en 1964 par la Ville de Paris, il est ensuite classé Monument Historique en 1968.
- entre 1979 et 1985, rénovation, restructuration, réaménagement pour l'installation des collections du futur musée.
- 25 ans plus tard, fermeture pour rénovation, modernisation, restauration et extension par Jean-François Bodin et Stéphane Thouin.
- réouverture le 25 octobre 2014.
La collection Picasso : Elle est composée :
- d'oeuvres de Picasso (peintures, sculptures, papiers collés, dessins, gravures et manuscrits)
- de la collection personnelle de Picasso qui a rassemblé au cours de sa vie des oeuvres de ses amis (Braque, Matisse, Miro, Derain...) de maîtres qu'il admirait (Cézanne, le Douanier Rousseau, Degas, Le Nain...)
La collection présente actuellement 2861 oeuvres.
L'après-midi, libre, a été consacré, selon les goûts des participants, à la visite du Musée Carnavalet, ou du Musée Cognac Jay, ou d'une exposition à l'Hôtel de Ville, ou à la découverte des galeries d'art et de peintures de la place des Vosges.
Le rendez-vous pour le retour étant fixé à 17 heures, c'est sans encombre et sans véritables bouchons que nous avons rejoint Tourcoing
à lire absolument si vous n'êtes pas encore convaincus...
Vendredi soir, Anne et moi sommes allés voir le spectacle de Simon Fache à la MJC La Fabrique, rue de Paris à Tourcoing.
Ce mec est too much, ce mec est trop!!!
Alors, si vous n'êtes pas encore inscrits au repas spectacle proposé par TLS, le vendredi 27 mars aux salons Bôsire, courez vite, rue de Lille,vous inscrire auprès de Martine ou Valérie.
Nous, nous reverrons Simon FACHE avec plaisir.
Ce message est celui d'un adhérent de TLS : il a été envoyé dans quelques messageries.
Cette opinion, confortant d'autres entendues ça et là dans divers ateliers, on a choisi de la diffuser pour tous. vous ne pouvez qu'être convaincus !
Ce mec est too much, ce mec est trop!!!
Alors, si vous n'êtes pas encore inscrits au repas spectacle proposé par TLS, le vendredi 27 mars aux salons Bôsire, courez vite, rue de Lille,vous inscrire auprès de Martine ou Valérie.
Nous, nous reverrons Simon FACHE avec plaisir.
Ce message est celui d'un adhérent de TLS : il a été envoyé dans quelques messageries.
Cette opinion, confortant d'autres entendues ça et là dans divers ateliers, on a choisi de la diffuser pour tous. vous ne pouvez qu'être convaincus !
de la nostalgie....et de bons souvenirs
SAMEDI 28 MARS 2015
LE LYCÉE GAMBETTA A TOURCOING
Le bâtiment en impose, trônant au centre de ce boulevard Haussmannien percé en 1872 pour aérer la ville…
Voilà 130
ans qu’il défie, du long de sa façade de 140 mètres, l’ancienne tradition
catholique de Tourcoing, 24 000 m2
consacrés à l’enseignement laïc, en 1885, ça fait jaser. D’aucuns le surnomment rapidement le « lycée du diable ». Mais l’État et la Ville,
dirigée à l’époque par Victor
Hassebroucq, ne lâchent pas prise, ils
financent chacun pour moitié l’énorme édifice.
Les
décorations sont choisies au niveau national, style néoclassique, en contrepoint du plus fantasque
néogothique
des institutions privées catholiques (comme La Catho à Lille), les 12
médaillons ornant la façade représentent
des scientifiques (spécialité de l’établissement à ses origines) : Lavoisier,
Volta…
Aujourd’hui,
le bâtiment regorge encore de vestiges du passé. L’ancien « parloir », où les
professeurs
recevaient
les parents, est devenu le secrétariat. La grande fresque des années 30 peinte à l’époque est en partie
recouverte d’armoires métalliques, on y distingue toutes les symboliques de
Tourcoing (la brouette,l’écusson)
et quelques mystères aussi (que font ces géants de Douai au centre de la
fresque ?)
Rendez vous sur place à 10 h 00 :
Lycée Gambetta 80 Bd Gambetta à Tourcoing
Carte
d’identité obligatoire sur place
Inscription au
siège dès à présent : 3 euros.
DÉCOUVRIR ROUBAIX AUTREMENT
Connaissez-vous « L’os à moelle » à Roubaix ? C’est
une gigantesque barre de plus de 300 appartements construite en 1966, à proximité de la filature Motte-Bossut, pour
reloger les habitants des courées.
Ce lundi 16 mars, Mme Anne Duquesne, guide-conférencière,
nous faisait découvrir le patrimoine industriel de Roubaix.
La visite commence par la façade de l’hôtel de ville, pour
observer la frise des six tableaux illustrant le travail de la laine. Nous
passons ensuite devant l’ancienne poste art-déco, qui abrite l’Institut
universitaire de technologie. La filature Motte-Bossut, véritable château-fort
de l’industrie, est devenue le siège des Archives nationales du monde du
travail. Tout près de là, une autre filature a été reconvertie en IUP Infocom.
Rue Jean Moulin, un passage débouche sur une courée,
invisible depuis la rue : la Cité Duyck, restaurée et gérée par Vilogia.
Une autre courée (Dubar-Dekien) est en restauration et accueillera bientôt des
étudiants.
Non loin de là, « Les belles années »,
résidence de 150 logements pour
étudiants, vient d’être construite sur le site d’une ancienne usine.
Notre guide nous emmène ensuite voir l’ancienne filature
Lepoutre, reconvertie en lofts, puis le
Gymnase , maintenant Centre chorégraphique de danse contemporaine, et pour
terminer, dans une autre ancienne
filature, le Conservatoire de Musique
qui vient d’être restauré.
Merci à Françoise, à qui nous devons ce très intéressant
parcours-découverte , agrémenté d’un soleil généreux. Merci à Bernadette pour avoir fait vivre, à travers ce texte, cette page d'histoire de Roubaix.
" Paris, Florence, Sienne (1250-1320) " présentée par Gunilla Lapointe.
Pendant la deuxième moitié du 13ème siècle, les
artistes abandonnent les traditions byzantines et romanes au profit d'un
nouveau langage.
Depuis Florence et Sienne, dans la lignée de
Cimabue et de Nicola Pisano, peintres et sculpteurs, regardent la sculpture
antique et renouvellent postures, couleurs et drapés en observant des œuvres de
l'art de cour français.
Pour la première fois, les liens unissant les
artistes du gothique rayonnant français à ceux de la fin
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